Qui est NDA ?

Le courage des convictions

Sa jeunesse

Nicolas Dupont-Aignan est né le 7 mars 1961 à Paris au sein d’une fratrie de 3 enfants. Passionné d’histoire, lecteur boulimique des Mémoires de guerre du Général de Gaulle, il est issu d’une famille de la classe moyenne, profondément attachée à la France.
Son grand-père, qui fut l’un des premiers aviateurs de la Grande Guerre, lui racontait à la table du dimanche ses premiers combats aériens pendant la guerre de 14 18. Quant à son père, chasseur-alpin, il avait été fait prisonnier et s’était évadé pendant le second conflit mondial.
Dès l’âge de 13 ans, il se passionne pour la politique et prend fait et cause pour le candidat du gaullisme social : Jacques Chaban-Delmas. Cet attachement aux valeurs du gaullisme ne l’a jamais quitté.
Au cours de ses études à Sciences po, il s’engage auprès de Philippe Séguin car il retrouve en lui cette exigence gaulliste : l’indépendance nationale, le sens de l’Etat et l’humanisme républicain.
Il débute sa vie professionnelle comme sous-préfet et après un bref passage en cabinets ministériels, il se présente aux élections municipales à Yerres (30 000 habitants) en Essonne, en 1995.

Ses jardins secrets

Nicolas est marié à Valérie et est père de deux filles. Elles sont les boussoles de sa vie. Il cultive ce jardin secret.
Il aime découvrir la nature et voyager avec elles. Les promenades en forêt, les longues marches sur les plages du Nord ou de la Baie de Somme. La Grèce aussi, et l’Italie. Ses pays favoris. Quand son emploi du temps le lui permet, Nicolas Dupont-Aignan pratique la natation et dévore les livres qui s’accumulent sur son bureau.
Il est aussi un passionné de cinéma et de musique, inconditionnel de la chanteuse Barbara à laquelle il a donné le nom d’une rue à Yerres.
Nicolas Dupont-Aignan est aussi un défenseur reconnu de la cause animale.
Il l’a prouvé comme maire par de multiples actions municipales (création d’une maison de soins des chats errants, entretien des espaces naturels par des vaches écossaises, subvention au refuge des chiens de Montgeron, nomination d’un élu local à Yerres délégué à la cause animale…) récompensées par la Fondation 30 Millions d’Amis qui lui a remis son Ruban d’Honneur.
Il l’a également prouvé comme député pour son action inlassable en faveur du bien-être des animaux et du respect de leur dignité animale. Il milite contre l’abattage sans étourdissement, pour le contrôle des abattoirs et a déposé une loi pour interdire la consommation de la viande de cheval, comme en Angleterre. Il s’est par ailleurs engagé contre les spectacles maltraitant les animaux.

Le maire
le mieux élu de France

Le maire le mieux élu de France, trois fois réélu à 80% des voix.
A la surprise générale, à 34 ans, il est élu maire de Yerres dès le premier tour de scrutin en 1995. Il prend alors les rênes d’une ville surendettée, essorée par les malversations d’un maire dont les rêves de folie des grandeurs s’étaient concrétisés dans un projet ruineux de centre aquatique, « le Triton », en faillite en 1988 peu après son ouverture. Yerres risquait alors d’être placée sous la tutelle du préfet.

Nicolas Dupont-Aignan et son équipe ont désendetté la ville (de 45 à 26 millions € en vingt ans), en faisant notamment une chasse impitoyable aux dépenses de fonctionnement superflues. Ce redressement financier a été unanimement salué par la presse nationale. Quant à son action municipale elle s’est attachée en priorité à protéger l’environnement en bloquant les projets immobiliers, à rétablir la sécurité, à en faire un modèle social et à mettre en valeur le patrimoine de la ville.

Un député libre

Tout en redressant sa ville d’Yerres, Nicolas Dupont-Aignan devient en 1997 l’un des plus jeunes députés de l’Assemblée Nationale.

En pleine vague rose suite à la dissolution de l’Assemblée par Jacques Chirac, il est le seul à faire basculer une circonscription de gauche à droite. Il est ensuite réélu au premier tour en 2002 (54%) et en 2007 (57%), dans une circonscription qui fut pourtant longtemps un bastion socialiste. Aux dernières élections législatives de juin 2012, en butte à la hargne de l’UMP qui présente contre lui un candidat, il se qualifie haut la main pour le second tour (43%, contre 9,5% à l’UMP concurrente), second tour qu’il remporte à plus de 61% des voix.

Son action parlementaire est résolument tournée vers la défense de la Nation de la République, comme de l’emploi et de la sécurité des Français.

A l’Assemblée Nationale, il incarne une ligne gaulliste sur les bancs du RPR puis de l’UMP. Depuis sa rupture avec l’UMP en 2007, il siège parmi les non-inscrits (NI). Il prend des positions fortes sur les thèmes qui ont toujours été au cœur de ses préoccupations : la République, en refusant le statut spécial pour la Corse, la défense des services publics en s’opposant à la privatisation de la Poste, de GDF ou encore des sociétés d’exploitation des autoroutes. Il vote les différentes lois sur la sécurité dans le but de lutter vraiment contre la délinquance.

C’est pour la même raison qu’il dénonce les lois de remise en liberté déguisée des criminels, successivement portées par Rachida Dati puis par Christine Taubira. Au plan économique, il s’engage fortement pour le développement de la participation, afin que les salariés bénéficient également du progrès économique. Il s’oppose fortement à la vente des fleurons de l’industrie française (Péchiney, Alcatel, Arcelor, Alstom).

Attaché à la francophonie, il a aussi rejeté la ratification du protocole de Londres (refusé par Jacques Chirac, mais approuvé par Nicolas Sarkozy), qui consacre l’affaiblissement du français dans le domaine scientifique.

En 2010, il met en garde contre les plans de sauvetage européen et plus particulièrement ceux de la Grèce qui ne font que jeter par la fenêtre l’argent des contribuables français pour sauver les banques et imposer l’austérité aux peuples. Il fut ainsi l’un des seuls députés à refuser le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) qui prévoit une garantie de 140 milliards endossée par la France et entérine la fin de la liberté budgétaire de l’Assemblée. Il se bat aussi pour le maintien des quotas laitiers au service d’une agriculture des territoires.

Siégeant à la Commission de la Défense nationale puis des Affaires étrangères, il prend position contre le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN et défend une ligne ferme d’indépendance nationale dans la crise ukrainienne, le retrait de nos troupes d’Afghanistan, ou la nécessaire coopération avec la Syrie pour vaincre Daech.

Il n’a cessé de dénoncer la réduction des effectifs de militaires, sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy et François Hollande, mettant en garde contre les nouvelles menaces. Dès le premier attentat de Charlie Hebdo, il a proposé au Président de la République 25 mesures chocs dont la plupart n’ont pas été mises en place.

Tout au long de ses mandats, il a combattu les traités européens successifs qui ont enchaîné la France et proposé une autre Europe, avec notamment un traité alternatif.

Fondateur de Debout la France,
le chemin vers l'indépendance politique

En 1997, Philippe Séguin, nouveau président du RPR le nomme Secrétaire national chargé des Fédérations. Encore trentenaire, Nicolas Dupont-Aignan participe ainsi à l’équipe dirigeante du parti, qui regroupe notamment François Fillon, Charles Pasqua et Nicolas Sarkozy, et se charge de sa reconstruction après la dissolution ratée qui a profondément ébranlé le mouvement. Il y défend, sans jamais transiger sur ses valeurs, une ligne gaulliste et républicaine abandonnée progressivement par la plupart de ses dirigeants, à l’exception de Charles Pasqua.

Ainsi, refusant par conviction de ratifier le traité d’Amsterdam – qui, en institutionnalisant l’espace Schengen, remet en cause les frontières nationales -, il choisit par cohérence d’abandonner fin 1998 ses fonctions dirigeantes au RPR et quitte le mouvement.

Il soutient aux élections européennes de l’année suivante la liste Pasqua-Villiers qui l’emportera sur celle d’un RPR en plein reniement national, Philippe Séguin ayant entretemps jeté l’éponge pour la même raison.

La même année, il fonde le club de réflexion Debout la République avec une quinzaine de députés RPR, soucieux comme lui d’actualiser – au lieu de le trahir – l’héritage du Général de Gaulle.

Il s’oppose sans succès à la transformation du RPR en UMP en 2002. Pendant cinq ans, il bataillera au sein de la nouvelle UMP contre la dérive européiste et néolibérale du parti. Par deux fois il se présente à la présidence de l’UMP, face à Alain Juppé en 2002 (15% des voix) et à Nicolas Sarkozy en 2004 (10% des voix, au terme d’un scrutin un peu étrange). En 2003, il apporte son soutien à la position de Jacques Chirac et Dominique de Villepin sur le refus d’intervenir en Irak aux côtés des Américains. Percevant le danger que représente la Constitution européenne, il fait campagne contre la ratification de ce traité lors du référendum de 2005 et est l’un des principaux ténors nationaux à fêter la victoire du « non », à près de 55%, au soir du 29 mai.

Portant sans relâche une voix gaulliste et républicaine, intraitable sur le respect de la liberté de la France et de la volonté populaire, il s’oppose en février 2008 à la ratification parlementaire du traité de Lisbonne – que l’UMP fait adopter avec la complicité du Parti socialiste, lequel renie toutes ses promesses de campagne présidentielle. Il dénonce dans un livre, « Le coup d’Etat simplifié », ce qu’il considère comme la plus grave violation de la souveraineté populaire en France depuis 1940. Toujours en 2008, lors d’un congrès fondateur à la Mutualité, il transforme son club de réflexion, Debout la République, en un parti politique à part entière.

Décidé à enraciner sa formation nouvelle dans le paysage politique national en participant à toutes les élections, il présente des listes aux européennes de 2009 et aux régionales (4,5% des voix en Ile-de-France) l’année suivante. En 2012, il se présente à l’élection présidentielle, résume son projet dans un nouveau livre, « Le printemps français », et réunit près de 650 000 voix au premier tour, le 22 avril.

Son parti, devenu depuis Debout la France, concourt à toutes les élections et poursuit son implantation : après les législatives de 2012 et les municipales de mars 2014, succèdent la même année les européennes (plus de 4% des voix au plan national).

Il rassemble des personnalités nouvelles qui oxygènent la vie politique, des maires de terrain dans des responsables associatifs, des intellectuels comme Dominique Jamet, célèbre polémiste des personnalités courageuses comme Stéphanie Gibaud , lanceuse d’alerte ou Anne Boissel, agricultrice.

En 2015 aux élections régionales, Debout la France rassemble autant de voix que le Front de Gauche et Europe Ecologie les verts. En Ile-de-France, la liste du candidat Nicolas Dupont-Aignan obtient 6,57% des suffrages exprimés. Debout la France devient ainsi le 4e parti politique dans plus de la moitié des communes de France, dont 10% dans plus de 1000 communes.

Autant d’échéances qui marquent une progression continue de son audience et de sa capacité à rassembler les électeurs de tous horizons, mais aussi les citoyens sans étiquette et les abstentionnistes.

De tous ses voyages, ses campagnes, ses rencontres, personnelles ou politiques, il a gardé cet amour et cette passion de la France et de ses terroirs. Nicolas Dupont-Aignan a la conviction que la France a tous les atouts, les talents, les énergies pour réussir. Il suffit de redonner aux Français le pouvoir afin qu’ils reprennent en main leur destin. Au-delà de la gauche et de la droite, il y a la France.

Témoignages

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